Beautifully me

  • Auteurice : Nabela Noor
  • Illustrateurice : Nabi H. Ali
  • Edition : Simon & Schuster
  • Date de publication : 2021

Meet Zubi: a joyful Bangladeshi girl excited about her first day of school. But when Zubi sees her mother frowning in the mirror and talking about being “too big,” she starts to worry about her own body and how she looks. As her day goes on, she hears more and more people being critical of each other’s and their own bodies, until her outburst over dinner leads her family to see what they’ve been doing wrong—and to help Zubi see that we can all make the world a more beautiful place by being beautifully ourselves.

Voici Zubi, une joyeuse jeune fille bangladeshi-américaine ravie de retourner à l’école aujourd’hui. Elle choisit avec attention sa tenue, ses bijoux, sa coiffure et est prête pour aller à l’école.

Puis alors qu’elle admire leur beauté, elle entend sa mère se trouver trop grosse, sa sœur être au régime, et son père dire qu’il a pris du poids et que ce n’est pas bien… A l’école, des enfants se moquent d’un autre non binaire apparemment trop gros·se pour sa robe. Là encore, Zubi lae trouve pourtant magnifique et ne comprend pas en quoi être gros est une mauvaise chose.

Alors le soir quand vient le diner, elle refuse de manger et dit qu’elle est au régime… Zubi craque, déballe toutes les doutes et les peurs que la journée a instillées. Elle veut être belle et ne veut surtout pas que les autres enfants se moquent d’elle. Réfugiée dans sa chambre, elle est rejointe par son papa qui lui explique que des fois on se fait du mal à nous-mêmes sans s’en rendre compte et surtout sans se rendre compte des conséquences sur les autres. Sa maman vient à son tour pour lui raconter l’histoire de son prénom qui signifie aimante et compréhensive…

« Je suis unique et c’est ce qui me rend magnifique. Il n’y a qu’un·e seul·e toi, et cela te rend magnifique. » Nabela Noor

Je laisse un peu de suspens (si peu…) pour parler des illustrations de Nabi H. Ali, toujours merveilleuses, l’environnement sud-asiatique bien évidemment, mais pour rester sur Zubi : wow ! Ses bras, ses jambes, une véritable représentation d’un personnage principal gros racisé et magnifique, sur fond non pas d’attaques grossophobes directes mais bien d’un système grossophobique qui délégitimise les corps gros…

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